L'été avait été dur pour nôtre jeune héro en herbe, devenu psychologiquement instable durant son été en solitaire, le jeune homme était sujet à des crises d'Angoisse de plus en plus souvent. Ce qui avait commencer par des courts instants de déprime s'étaient transformés en des crises incontrôlables où le jeune homme n'avait plus aucun contrôle sur ses pouvoirs ni sur ses actes. Un voile se posait alors sur ses yeux verts et sa conscience semblait laisser sa place à l'esprit animal qui avait toujours habité le corps de Tristan et avec qui il vivait habituellement en harmonie.
Tristan s'était alors réfugié à l'intérieur de l'école une bonne partie des vacances estivales, il avait prit cette décision en commun accords avec le directeur de l'école lorsque Tristan avait attaqué un groupe de jeunes adultes dans un bar d'une ville à une centaines de kilomètres de l'école. Lorsque l'incident fut survenu des membres du personnel de l'école l'avait récupéré aussi rapidement que possible, ils le retrouvèrent dans les bois changé en loup.
Tristan vécu alors à l'école avec quelques membres du personnel qui y vivaient à l'année longue et passait une partie de son temps dans les jardins ou dans la salle de crise, une salle où tout y était indestructible, mais s'elle-ci permettait à son occupant d'utiliser ses pouvoirs, comparativement à la salle de retenue où aucun pouvoirs y fonctionnaient, neutralisés par un sortilège.
Se n'était plus véritablement un homme qui rageait dans la pièce, hurlant et jetant des objets pour se défouler. De la fourrure parsemait le corps musclé du jeune homme, ses yeux vert avaient prit une teinte jaunâtre et sa posture habituellement droite était légèrement courbé vers l'avant telle une bête. Mi-homme mi-animal, Tristan jetait des tables et des chaises contre les murs, lorsqu'il se fut enfin essoufflé il mit ses mains sur sa tête, souffrant visiblement puis s'Agenouilla sur le sol, geignant tel un animal blessé.
Après plus d'une heure le jeune homme s'endormie, l'étudiant qui était habituellement si calme, si maître de lui-même et avait l'air plutôt distant envers les autres se lisait maintenant comme un livre ouvert.